One game in, I'm certainly not regretting my decision to join Woody's league. Ten years of pickup hockey has not helped my positional play, and these guys have enough experience to know where to be at all times.
I'm often lost out there because of it, and I attribute it to the learning curve related to picking up new skills.
I got a lucky goal off a deflection, made some nice passing plays and backchecked (these last two are your best calling card when you join a new group of guys).
The fascinating part of this league is that the guys meet in the parking lot after the game to drink a beer (even when it's minus 30 Celcius). This reminds me of my old ball hockey days in Gatineau, where the parking lot would turn into a party zone after our summer games. These guys are a bit more relaxed, but there's something exciting about defying authority by having a cold one in a public parking lot.
///Après mon premier match, je ne regrette surtout pas de m'être joint à la ligue de Woody. Dix ans de hockey improvisé n'a pas aidé à améliorer mon jeu de position, alors que ces gars ont assez d'expérience pour savoir à quel endroit se placer en tout temps.
Je me sens donc souvent perdu sur la glace, ce que j'attribue à la période d'apprentissage de cette nouvelle habileté.
J'ai marqué un but chanceux sur une déviation, j'ai fait de belles passes et j'ai pratiqué de l'échec-arrière (les deux derniers sont ta meilleure carte de visite lorsque tu te joins à un nouveau groupe).
Ce qui me fascine de cette ligue est que les gars se rencontrent par la suite dans le terrain de stationnement pour boire une bière (même à 30 sous zéro). Ceci me rappelle mes vieux jours de hockey balle à Gatineau, alors que le terrain de stationnement devenait une terrasse après nos matchs d'été. Ce groupe-ci est plus calme, mais je ressens la même excitation de défier l'autorité qui vient en buvant dans un lieu public.
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