Friday 16 February 2007

On Garage Leagues Versus Pickup ///Des ligues ou du jeu improvisé?

Jeremy Hiebert waxes eloquently on the difference between these two hockey formats, and compares them to groups and networks :

The third thing that popped into my head was my grown-up hockey experiences. I played as a kid, up until I was 16 or so. In recent years, I've half-heartedly started playing again. Last winter, I tried two very different formats. I played a few games for a local old-timer's team, and I played noon-hour drop-in hockey a dozen or so times. It hit me last night that the contrast between the two formats is very similar to (the) differences between groups (the old-timer's team) and networks (noon-hour drop-in).

The team was all about unity (us vs the bad guys), coordination (scheduled games, annual fees, obligation to show up, set lines), closed (you had to be invited) and distributive (core group ran the show, stars were central). The noon-hour drop-in hockey was all about diversity (whoever shows up today plays, regardless of skill level or age), autonomy (you decide when you want to come, when you want to rest), openness (everyone welcome every time), and connective (over time you talk to many more individuals than you would have on a single team).

While it is true that there are benefits to playing on a team -- added motivation to support your teammates, more cohesive relationships, and beers after the games -- I found that the drawbacks way outweighed the benefits for me. At drop-in hockey, I played more often, learned more (more ice time, more variety), spent less money, met more interesting people, and just had more fun. It may be a personality thing (some people really do seem to thrive in groups of all kinds), but I think networks make more sense for me.

As for me, I'll stick to leagues for now, but this was an eye-opener.

///Le blogueur Jeremy Hiebert décrit les différences entre ces deux formats, et les compare aux groupes et aux réseaux :

La troisième chose auquel j'ai pensé a été mon expérience de hockeyeur adulte. J'ai joué lorsque j'étais jeune, jusqu'à l'âge de 16 ans. Récemment, j'ai recommencé tranquillement à jouer à nouveau. L'hiver dernier, j'ai essayé deux formats différents. J'ai joué quelques matchs pour une équipe dans une ligue de vieux de la vieille, et j'ai joué du hockey improvisé une douzaine de fois à l'heure du midi dans les arénas. Ce qui m'a frappé c'est que le contraste entre les deux formats ressemble aux différences entre les groupes (équipe dans une ligue) et les réseaux (hockey improvisé).

Les valeurs de l'équipe étaient l'unité (nous contre les mauvais), la coordination (horaires de matchs, frais d'inscription, obligation de participer, trios offensifs prédéterminés), le groupe (on doit être invité pour y participer), l'hiérarchie (quelques personnes mènent le bal, les joueurs étoiles sont le centre d'attraction). Par contre, le hockey improvisé mettait l'accent sur la diversité (ceux qui se présentent peuvent jouer, peu importe leur âge ou degré d'habileté), l'autonomie (tu décides quand tu veux y aller ou non), l'ouverture (tout le monde est toujours bienvenue), et élargi (au fil du temps tu rencontres plus d'individus qu'en jouant pour la même équipe).

Bien qu'il est vrai que le jeu d'équipe a ses avantages - la motivation d'appuyer ses co-équipiers, les liens plus étroits, la bière après la joute - j'ai trouvé que les désavantages étaient trop grands pour moi. Au hockey improvisé, j'ai joué plus souvent, j'ai appris davantage (plus de temps de glace, plus de variété), j'ai dépensé moins d'argent, j'ai rencontré plus de gens intéressants et j'ai eu plus de plaisir. C'est peut-être une question de personnalité (certaines personnes sont plus à l'aise dans des groupes), mais je crois que les réseaux font plus de sens pour moi.


Bien que je continue à préférer les ligues, ceci m'a ouvert les yeux aux possibilité du hockey improvisé.

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